Voici de nouveau la «haute-ville administrative»: la boucle s’achève.
(Voir aussi la section 2)

Devant le palais de justice moderne (1971), la sculpture Allégrocube de Charles Daudelin. Un peu plus loin, un monument évoque la mémoire de l’audacieuse Marguerite Bourgeoys.

Conclusion éloquente à ce parcours : côte à côte, le palais de justice de 1926, un gratte-ciel de 1913 et une maison construite en 1811 à la manière du Régime français.

Le « nouveau palais »,
datant des années 1920, avait perdu sa vocation d'origine lorsqu'il accueillit les les conservatoires de musique et d’art dramatique. Il la retrouvera bientôt avec l'arrivée de la cour d'appel. L'édifice a été rebaptisé du nom de son concepteur, Ernest Cormier.

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