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Tout à la fois témoin et acteur de la création d'un nouveau centre-ville au nord du centre ancien, le « secteur des gares », avec ses deux gares et leurs environnements urbains respectifs, combine de façon étonnamment harmonieuse les deux univers a priori antagoniques du victorien et du moderne.
     
 

La construction de la gare Windsor amorce à la fin du XIXe siècle une expansion des infrastructures de transport et du centre des affaires vers le secteur huppé de la ville haute : jusqu'alors, tous les grands équipements du genre se retrouvaient au pourtour du vieux centre, dans la partie basse. Pour desservir cette haute ville, on fait d'abord suivre aux rails un escarpement. Puis, au XXe siècle, d'autres voies ferrées passent sous le mont Royal, par un tunnel construit à cette fin. Enfin, un long viaduc urbain, qui enjambe plusieurs rues, permet d'amener des voies à partir du sud-ouest de la ville, où demeurent concentrées les installations du Grand Tronc que le Canadien National a reprises. Ainsi, seulement quelques minutes de trajet séparent les passagers des océaniques, des trains continentaux : les immigrants arrivant par milliers au port et les riches touristes voyageant en première classe, qui débarquent de paquebots appartenant au CP ou à ses concurrents, n'ont qu'à se rendre aux gares pour y prendre des trains des mêmes compagnies.

Un nouveau centre-ville se construit ainsi autour de deux gares, l'une victorienne, l'autre moderne.

 
   
   
 
 
LE SECTEUR DES GARES
LA GARE WINDSOR ET SES
ALENTOURS VICTORIENS
LA GARE CENTRALE ET
SON COMPLEXE MODERNE
LA PLACE VILLE-MARIE
LE CŒUR DU RÉSEAU
PIÉTONNIER SOUTERRAIN
DEUX GARES DU CENTRE ANCIEN
LE PONT VICTORIA
     
 
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Février 2003